Energiedouce depuis sa création en 2003 a participé à la réalisation de plusieurs centaines de projets d’alimentation d’équipements électriques en site isolé. Nous comptons parmi nos clients professionnels des entreprises reconnues telles que INEO GDF Suez, Eiffage, MTN, BNP Paribas, LVMH, Cegelec, Total, Teréga, etc… Rentrez dans cette rubrique pour découvrir quelques unes de nos réalisations. Lire la suite
Energiedouce depuis sa création en 2003 a participé à la réalisation de plusieurs centaines de projets d’alimentation d’équipements électriques en site isolé. Nous comptons parmi nos clients professionnels des entreprises reconnues telles que INEO GDF Suez, Eiffage, MTN, BNP Paribas, LVMH, Cegelec, Total, Teréga, etc… Rentrez dans cette rubrique pour découvrir quelques unes de nos réalisations. Lire la suite
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Les énergies fossiles actuellement utilisées (pétrole, charbon, gaz, etc.) sont en partie responsables du réchauffement climatique et comportent des risques pour la santé et l’environnement. Par ailleurs, ces ressources ne sont pas inépuisables et vont se raréfier. L’avenir de l’humanité est donc aux énergies renouvelables (solaire, éolien, hydraulique, géothermie, etc.) dont l’empreinte écologique est minimale.
En outre, le monde a besoin d’importantes économies d’énergie. Pour éviter un changement climatique catastrophique, les émissions des gaz à effet de serre doivent être réduites de 80 à 90% d’ici 2050. Economiser l’énergie constitue une partie importante de la solution (40%) via les actions suivantes : des habitations mieux isolées, des appareils électroménagers et voitures économes en énergie, une alimentation durable et, avant tout chose, des changements de comportements. Avec un peu de bon sens, vous pouvez déjà épargner quelques tonnes de gaz à effet de serre dans votre maison.
À la suite de différentes directives européennes (92/75/CEE, 94/2/CE, 95/12/CE, 96/89/CE, 2003/66/CE, etc.), la plupart des appareils électroménagers, les ampoules électriques et les voitures (pas dans tous les pays pour l'instant) doivent avoir une étiquette-énergie (ou étiquetteÉnergie).
L'efficacité énergétique de l'appareil est évaluée en termes de classes d'efficacité énergétique notées de A++ à G. La classe A++ étant celle au rendement optimum, G la moins efficace.
Les étiquettes fournissent également d'autres informations utiles au client, l'aidant dans son choix entre différents modèles. En 2007 toutes les catégories d'appareil ne comportent pas encore les classes A+ et A++. Milieu 2007, la catégorie réfrigérateur A++ ne semblait pas être commercialisé.
Les étiquettes-énergie comprennent au moins quatre parties :
Voici l'échelle des indices d’efficacité énergétique, cet indice est calculé pour chaque appareil à partir de sa consommation et du volume des compartiments, tout en prenant en compte le type d'appareil. Cet indice n'est donc pas exprimé en kWh.
A++ | A+ | A | B | C | D | E | F | G |
<30 | <42 | <55 | <75 | <90 | <100 | <110 | <125 | >125 |
De plus on retrouve sur l'étiquette :
Pour cette catégorie (et cette catégorie seulement), il existe également un label Energy+, pour les appareils encore plus économes que les appareils de catégorie A (catégories A+ et A++).
Ils représentent 25 % de votre consommation d’électricité.
Pour l’achat d’un nouveau réfrigérateur ou congélateur, optez pour un modèle économe en énergie. Les réfrigérateurs âgés de plus de 10 ans consomment inévitablement plus d’énergie que les nouveaux modèles. Nous vous conseillons de les remplacer, pour autant que le nouvel appareil soit de classe A+ ou A++.
Conseils d'utilisation :
Pour le lavage l'échelle d’efficacité énergétique est calculée pour une lessive sur le cycle « blanc » à 60°C et ramenée à 1 kg de linge. L'unité est donc kWh/kg de linge.
A | B | C | D | E | F | G |
<0,19 | <0,23 | <0,27 | <0,31 | <0,35 | <0,39 | >0,39 |
Des appareils A+ sont apparus dans cette catégorie (lave-linge, sèche-linge à échangeur de température)
De plus on retrouve sur l'étiquette :
Un lave-linge consomme beaucoup d’eau et d’énergie. Les coûts liés à la consommation d’énergie et d'eau du lave-linge pour une période d'utilisation de 15 ans s'élèvent à 1400 euros dans une maison familiale. Choisissez un lave-linge performant et économe.
Pour le séchage l'échelle d’efficacité énergétique est calculée pour le séchage sur le cycle « blanc sec » et ramenée 1 kg de linge. L'unité est donc kWh/kg de linge.
A | B | C | D | E | F | G |
<0,55 | <0,64 | <0,73 | <0,82 | <0,91 | <1,00 | >1,00 |
Ces appareils sont de gros consommateurs d’énergie. Si on peut s’en passer, la corde à linge reste la solution la plus écologique et la moins chère ! Cependant, en choisissant des modèles performants et en respectant certaines règles d’utilisation, il est possible de diminuer les coûts engendrés par les sèche-linge.
Si vous disposez d’une sortie d’évacuation, optez pour un séchoir à évacuation. Les appareils fonctionnant au gaz sont les plus économes. Ils consomment 10 fois moins d’électricité, permettent de réduire de 60 % la facture d’énergie (électricité + gaz) et sèchent le linge à une vitesse supérieure de 40 % par rapport à un sèche-linge électrique ordinaire.
Pour les sèche-linge à condensation, ne nécessitant pas d’évacuation, les modèles avec pompe à chaleur sont à privilégier. Seuls ces sèche-linge atteignent une efficacité énergétique de classe A.
Quelques conseils d’utilisation :
L’efficacité énergétique est calculée pour 12 couverts, c'est donc sa consommation pour laver ces 12 couverts. Cet indice est donc exprimé en kWh pour 12 couverts.
A | B | C | D | E | F | G |
<1,06 | <1,25 | <1,45 | <1,65 | <1,85 | <2,05 | >2,05 |
De plus on retrouve sur l'étiquette :
Quelques conseils d’utilisation :
On retrouve sur l'étiquette :
Un four à micro-ondes consomme autant, voire plus, qu’un four classique.
Si vous devez renouveler votre chauffe-eau, envisagez l’achat d’un chauffe-eau solaire : il satisfera 40 à 80 % de vos besoins en eau chaude (selon votre situation et consommation), voire 100 % l’été. C’est un système fiable, non polluant et rentable à terme, même sous nos latitudes moyennement ensoleillées.
Le prix d’une installation de chauffe-eau solaire standard est situé entre 1 500 et 3 000 € en fonction de la puissance souhaitée (proportionnelle au nombre d’habitants du foyer).
Cliquez ici pour accéder au rayon concerné de notre boutique
Vos besoins en chauffage sont étroitement liés à l’architecture et l’isolation de votre maison. Si vous construisez ou rénovez une maison, vous pouvez réduire ces besoins en optant pour une conception écologique. N’hésitez pas à consulter un architecte spécialisé
Utilisez des couvercles : vous réduirez votre consommation d’énergie de 50 % et vous gagnerez du temps.
Consultez notre rayon d’éclairage à LEDs en cliquant sur le lien
Les dernières générations d’ampoules à LEDs offrent une luminosité, 7 à 8 fois supérieure à celle des lampes à incandescence, sans émissions nocives pour l’environnement. Elles offrent une excellente résistance mécanique (chocs, écrasement, vibrations) et ont l’avantage d’avoir une très faible consommation électrique (quelques dizaines de milliwatts) rendue possible grâce à un très bon rendement. La technologie LED de haute puissance permet de réaliser des économies allant de 50% à 80%.
La durée de vie d’une ampoule à LEDs est beaucoup plus longue qu’une lampe à incandescence classique ou même qu’une lampe fluorescente (50 000 à 100 000 heures contre 6 000 à 15 000 heures pour les fluorescentes et au maximum un millier d’heures pour les lampes à incandescence).
Les ampoules à LEDs ne craignent pas la poussière et ne jaunissent pas. Leur Indice de rendu des couleurs (IRC) est très supérieur à la technologie incandescente.
Elles ont une taille beaucoup plus petite que les lampes classiques. Ainsi, en assemblant plusieurs LED, il est possible de réaliser des éclairages avec des formes novatrices.
Atout non négligeable en matière de sécurité, par rapport aux systèmes lumineux classiques, leur inertie lumineuse est quasiment nulle. Elles s’allument et s’éteignent en un temps très court et atteignent immédiatement leur intensité lumineuse nominale.
Les ampoules à LEDs ont faible dégagement de chaleur. Au regard de leur puissance, les LEDs classiques 5 mm ne chauffent presque pas et ne brûlent pas les doigts.
Les ampoules fluocompactes "basse consommation" ou "à économie d’énergie"
On peut toujours remplacer une lampe à incandescence par une ampoule fluocompacte de 9, 11 ou 15 watts. Elles ne consomment pas seulement cinq fois moins d'électricité que les ampoules ordinaires pour produire la même quantité de lumière: elles dégagent cinq fois moins de chaleur devant les yeux.
Les ampoules fluocompactes, ou lampes fluorescentes compactes (LFC), sont une alternative aux ampoules traditionnelles. Durables et économes, elles éclairent davantage que les ampoules incandescentes et proposent de nombreux avantages :
Durant sa vie, une seule ampoule fluocompacte de 20 W permet une économie de 1000 kWh, évitant ainsi :
Elles transforment moins de 5% de l'électricité en lumière: 95% est dégagé en chaleur. En revanche, le luminaire qui les abrite peut être bon marché: un simple interrupteur suffit à le faire fonctionner. On est ainsi sûr que la lampe ne consomme rien une fois éteinte. Choisir des ampoules qui diffusent leur lumière de manière directionnelle (genre spot). Une bonne ampoule spot de 40 watts peut éclairer bien mieux qu'une ampoule poire ordinaire de 60 watts - surtout si elle est brunie par la saleté.
Leur rendement lumineux est meilleur que celui d'une ampoule ordinaire, mais bien moins bon que celui d'un tube fluorescent. Ce type d’ampoule nécessite un transformateur pour faire passer la tension de la prise de 230 Volts à 12 Volts. Ce n'est pas parce que la lampe est "basse tension" qu'elle consomme moins d'électricité. La consommation est au moins aussi grande que la puissance de l'ampoule (en watts), à laquelle il faut ajouter les pertes d'énergie du transformateur.
Prise transfo ? Prise ballast ?
Sur certains modèles de lampe halogène basse tension et de lampe à tube lumineux, le transformateur (ou le ballast) forme un bloc avec la prise. Il est donc placé avant l'interrupteur: même éteinte, la lampe de bureau peut consommer quelques watts.
La plupart des modèles dont le transformateur est intégré dans le pied ne consomment rien lorsqu'ils sont éteints. Mais il y a, hélas, des exceptions... Un wattmètre permet de le vérifier. On peut aussi placer sa main sur le transformateur (lorsque la lampe est éteinte depuis longtemps) pour voir s'il dégage de la chaleur.
Avec seulement 11 watts, le tube lumineux coudé en U diffuse autant de lumière qu'une ampoule de 60 watts. Avec un ballast électronique, le tube lumineux aura une longue vie, pas de clignotements à l'allumage, ni de vibrations lumineuses. Le tube peut être choisi en fonction de sa température de couleur et de son IRC (Indice de Rendu des Couleurs).
D'un gros diamètre de 38mm, il est alimenté par un starter et un ballast ordinaires - d'où ce clignotement au démarrage et cette vibration lumineuse durant le fonctionnement qui peut déranger certaines personnes. Sa lumière a un mauvais IRC (Indice de Rendu des Couleurs) qui donne un teint blafard. Sa température de couleur éclaire la pièce d'une lumière glaciale. Ce genre d'éclairage est toujours en vente, mais il faut le réserver pour les lieux où l'on ne séjourne pas longtemps.
D'un diamètre très fin de 16mm, il est équipé d'une alimentation électronique: pas de clignotements au démarrage, pas de vibrations et une consommation électrique beaucoup plus faible qu'un starter et ballast ordinaires. Bien choisi, il offre un très bon IRC (Indice de Rendu des Couleurs) et une température de couleur adaptée au travail de bureau. Son rendement lumineux et sa durée de vie sont excellents. De plus - à condition d'utiliser un ballast électronique réglable - il est possible de moduler sa luminosité.
Un bureau plongé dans la nuit permet de constater la quantité d'appareils en fonctionnement ou en attente de fonctionnement. Au total, cela peut représenter des dizaines de watts. Ne pas hésiter à éteindre puis débrancher les appareils qui ne servent pas souvent, tels le scanner ou le graveur de CD: il n'est pas nécessaire qu'ils soient mis sous tension chaque fois qu'on utilise l'ordinateur (voir "consommation cachée" un peu plus bas) .
En veille : En attente, prêt à fonctionner. Et pourtant, il peut se passer des heures avant que l'on s'en serve. Ne pas oublier qu'un appareil en attente tire de l'électricité, et que ses composants électroniques chauffent et s'usent. En été, un équipement informatique de ce genre participe à chauffer le bureau. Y penser avant de songer à la climatisation.
Tous débranchés d'un coup : Même lorsqu'on les éteint avec leur bouton, la plupart des ordinateurs et périphériques informatiques continuent de tirer un peu d'électricité "en cachette" - surtout s'ils datent un peu et sont bon marché. On parle de consommation cachée.
Le seul moyen de les éteindre vraiment, c'est de les débrancher - ou de couper leur alimentation à l'aide d'une prise multiple (après les avoir éteints avec leurs boutons respectifs). Cela réduit leur vieillissement et les protège des surtensions toujours possibles du réseau électrique.
Beaucoup d'appareils électroniques, ainsi que certaines lampes munies d'un transformateur ou d'un variateur, consomment un peu d'électricité même lorsqu'on les croit éteints. C'est-à-dire même si le témoin qui indique la mise sous tension n'est pas allumé.
Cette consommation "cachée" existe parce que l'interrupteur principal se trouve après le transformateur. Le transformateur reste ainsi sous tension et consomme de l'électricité. Il dégage aussi de la chaleur qu'on peut souvent détecter en plaçant sa main sur l'appareil. Dans ce cas, le seul moyen de faire cesser la consommation d'électricité est de retirer la fiche (ou de brancher l'appareil sur une multiprise comportant un interrupteur).
Lorsque l'interrupteur est placé avant le transformateur, il coupe complètement l'alimentation électrique et l'appareil ne consomme plus rien lorsqu'on l'éteint.
Faire la chasse aux veilleuses
On peut facilement agir sur les consommations « cachées »: la plupart des appareils électroménagers sont en effet équipés d’un mode "stand-by" qui les maintient en veille lorsqu’ils ne fonctionnent pas à proprement parler. Comme, par exemple, l’horloge de programmation du percolateur ou du four, le mode veille de la télévision et du magnétoscope, les transformateurs basse tension, les chaînes hi-fi, etc.
Ces consommations cachées, en s’additionnant, peuvent s’élever jusqu’à 1.000 kWh/an dans un ménage bien équipé, ce qui représente une dépense de 150 Euros /an au tarif normal.
Eteignez donc complètement vos appareils. C'est très simple : branchez-les sur un multiprise équipé d'un interrupteur.
A surface d'affichage égale, un écran plat consomme deux fois moins d'électricité qu'un écran cathodique (l'écran encombrant), et dégage en conséquence moins de chaleur. De surcroît, il émet moins de rayonnements électromagnétiques et conserve plus longtemps sa qualité de lumière et de contraste. Un bon écran de 17" consomme environ 30 watts. Mais certains modèles tirent deux fois plus d'électricité. La consommation augmente proportionnellement à la surface d'affichage.
Appelés "économiseurs d'écrans", ces programmes servaient à l'origine à afficher une image sombre et mouvante pour éviter qu'un affichage fixe finisse par laisser une marque permanente sur le revêtement phosphorescent des écrans. Ces programmes n'économisent pas d'électricité et n'ont plus d'utilité technique avec les écrans plats. Au contraire, les animations complexes sollicitent le processeur de l'ordinateur et consomment davantage d'électricité.
Un écran noir peut consommer presque autant d'électricité qu'un écran en fonction. Car, le plus souvent, la veille ne consiste qu'à afficher une image noire. La mise en "vraie" veille (appelée souvent "stand-by") dépend des réglages de l'ordinateur. Sur PC, voir sous "Propriétés d'affichage/Ecran de veille". Sur Mac, voir sous "Préférences du système/économiseur d'énergie". Un bon écran plat de 17" ne consomme qu'un seul watt lorsqu'il est en veille profonde.
Aussi curieux que cela puisse paraître, tous les modèles d'écran ne sont pas éteints lorsqu'on croit couper leur alimentation en appuyant sur le bouton OFF. Beaucoup ont une consommation cachée: ils continuent de soutirer quelques watts d'électricité, généralement entre 0,5 et 3 watts. Mais on en trouve certains qui "volent" plus de 10 watts!
Là, on est sûr que l'écran ne consomme plus d'électricité. Et qu'il ne risque pas de subir de dégâts suite à une surtension sur le réseau électrique. Pour le déconnecter, et éviter d'endommager fiche et prise avec des débranchements quotidiens, on gagnera à le brancher sur une barrette multi-prises munie d'un interrupteur (qui accueillera aussi l'ordinateur, l'imprimante, le modem, etc.)
Pour encourager ceux qui hésitent encore à agir pour la planète, l’ADEME et la Fondation Nicolas Hulot proposent le guide « Maîtrisons l’énergie en faisant le plein d’économies ».
L’énergie représente en effet un poste de plus en plus important dans les dépenses familiales.
Les efforts de chacun doivent donc s’orienter vers une sobriété énergétique, bénéfique tant pour la planète... que pour notre porte-monnaie.
C'est pourquoi ce guide identifie une quinzaine de bonnes pratiques permettant de réduire la consommation d’énergie, en termes de chauffage, d’habitat, d’équipements de la maison et de déplacements. Chaque solution est illustrée de chiffres permettant de rendre très concrètes les économies réalisées sur l’année.
Cliquez sur le lien pour télécharger le guide
La France et l’Europe se sont engagées à réduire leurs émissions de CO2 et développer des énergies renouvelables.
Nous ne tiendrons pas ces engagements sans une forte amélioration de l’efficacité énergétique dans tous les secteurs.
Le Grenelle de l’Environnement a fixé des objectifs ambitieux. Le chemin qui sera parcouru année après année pour les atteindre aux différents horizons 2012, 2020 puis 2050 nécessite de connaître précisément nos consommations d’énergies et nos productions pour rendre compte des résultats et améliorer nos actions.
Disposer d’une connaissance détaillée de l’efficacité énergétique et des émissions de CO2 pour le bâtiment, les modes de transport, les branches de l’industrie ou les installations d’énergies renouvelables est une évidence dont lan concrétisation n’est pas si simple. L’enjeu est bien d’aboutir à des indices d’efficacité énergétique pour chaque secteur.
Grâce à sa présence dans toutes les régions françaises, et à ses activités au niveau national et international, l’ADEME possède, collecte ou coordonne un certain nombre de données et d’études utiles à ce sujet.
Afin de partager ces chiffres clés avec l’ensemble des acteurs de la maîtrise de l’énergie et du développement des énergies renouvelables, l’ADEME a souhaité réunir dans un seul document de référence ces données essentielles.
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